Diverses questions étaient à l'ordre du jour et dans l'heure impartie nous n'avons pas eu le temps de débattre sur tous les sujets.
L'un d'entre eux, l'évolution des GEM, restait en suspens et à la demande du Député Deny Robiliard et de Mme Hélène Gacon il nous a été demandé de compléter notre contribution par mail.
Ci-joint le texte envoyé en complément de l'audition.
Je rappelle qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que notre Union dont la spécificité est l'entraide mutuelle entre les GEM soit questionnée sur l'avenir de la psychiatrie et la santé mentale. En effet, le cahier des charges au respect duquel notre financement est soumis recommande bien que les GEM soient en lien avec les lieux de soins.
Le bon fonctionnement des GEM pour l'accomplissement de leurs missions dépend d'une organisation pertinente des soins sur les territoires de santé. Si nous revendiquons de ne pas nous substituer aux CMP, SAVS et autres SAMSAH encore faut-il qu'ils existent. Rappelons que SAVS, SAMSAH et GEM sont nés en même temps de la loi de 2005 en complément les uns des autres pour permettre la meilleure réinsertion possible de notre public dans la Cité.
Maïté ARTHUR
L'un d'entre eux, l'évolution des GEM, restait en suspens et à la demande du Député Deny Robiliard et de Mme Hélène Gacon il nous a été demandé de compléter notre contribution par mail.
Ci-joint le texte envoyé en complément de l'audition.
Je rappelle qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que notre Union dont la spécificité est l'entraide mutuelle entre les GEM soit questionnée sur l'avenir de la psychiatrie et la santé mentale. En effet, le cahier des charges au respect duquel notre financement est soumis recommande bien que les GEM soient en lien avec les lieux de soins.
Le bon fonctionnement des GEM pour l'accomplissement de leurs missions dépend d'une organisation pertinente des soins sur les territoires de santé. Si nous revendiquons de ne pas nous substituer aux CMP, SAVS et autres SAMSAH encore faut-il qu'ils existent. Rappelons que SAVS, SAMSAH et GEM sont nés en même temps de la loi de 2005 en complément les uns des autres pour permettre la meilleure réinsertion possible de notre public dans la Cité.
Maïté ARTHUR