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Nous tous parce que : même combat !
C'est-à- dire conserver les GEM qui fonctionnent comme des GEMs et préserver les emplois des animatrices(teurs)qui font tous leurs efforts pour aider les adhérents à ce qu'il en soit ainsi.
En examinant du plus près qu'il est possible une centaine de GEMs, c-à-d un tiers de l'existant nous avons constaté beaucoup de manquements au Cahier des charges.
- soit qu'ils n'ouvrent ni le samedi ni le dimanche,
- soit ouvrent moins de 30 heures accès public et trois jours et demie par semaine
- la grande majorité n'a ni site, ni blog, l'existence de leur GEM est annoncée dans des annuaires locaux et nous ne pouvons prendre connaissance ni des statuts ni des règlements intérieurs,
- ceux qui ont des blogs et des sites n'affichent pas tous leurs documents sociaux,
- 80% de ceux que nous avons répertoriés sont gérés et administrés par des associations humanitaires, des professionnels de la gestion du handicap, des savs, il y a même des hôpitaux de jours qui s'y collent,et une aumonerie
- toutes les présentations font référence à la rupture de l'isolement, à la prévention,à la convivialité, à l'aide à la restauration des capacités mais peu font référence à la mission d'amener à l'autonomie et seuls quatre disent clairement que cette autonomie devra aller jusqu'à la prise en charge totale du GEM par l'association d'usagers,
- lorsqu'une association d'usagers a été créée les représentants des usagers dans les CA sont minoritaires sur le total des membres,
- beaucoup des gestionnaires sont les employeurs des animateurs et ce même lorsqu'il y a une association d'usagers,
- beaucoup trop de GEM sont encore logés dans les locaux mêmes du parrain généralement gestionnaire,
Des appels que nous recevons il apparaît que dans les GEM gérés par les associations professionnelles les comptes ne sont pas rendus aux associations d'usagers, que les embauches et les licenciements se font sans leur avis, que les dossiers de demande de subvention et les rapports d'activités passés et prévisionnels sont faits exclusivement par les animateurs et leurs employeurs.
Des conversations que nous avons avec les ARS il ressort que seul le regroupement des GEM autonomes en collectif permettra de sauver le concept.
Nous avons constaté que seules l'Union nationale GEM-France et Advocacy regroupent les GEM créés, gérés, administrés par les usagers.
Il en est des Groupes d'Entraide Mutuelle comme de toute entreprise dans le système qui nous gouverne. Nous ne sommes pas très nombreux à être totalement autonomes.
En nous rassemblant tous nous aurons assez de crédit, assez de force pour soutenir notre travail de militants et de bénévoles dans les GEM,
Nous aurons assez de force pour que soit vraiment valorisé le travail des bénévoles dans le champ du mouvement des usagers, assez de force pour valoriser le travail de tous les animateurs qui accomplissent leur "coeur de métier" au bénéfice des adhérents.
Ne restons pas seuls chacun dans nos murs.
Le seul critère qui compte vraiment c'est que notre mouvement est constitué de personnes disponibles. De pairs disponibles à l'écoute, à l'entraide, à l'information donnée et reçue, à l'échange d' expériences.
C'est-à- dire conserver les GEM qui fonctionnent comme des GEMs et préserver les emplois des animatrices(teurs)qui font tous leurs efforts pour aider les adhérents à ce qu'il en soit ainsi.
En examinant du plus près qu'il est possible une centaine de GEMs, c-à-d un tiers de l'existant nous avons constaté beaucoup de manquements au Cahier des charges.
- soit qu'ils n'ouvrent ni le samedi ni le dimanche,
- soit ouvrent moins de 30 heures accès public et trois jours et demie par semaine
- la grande majorité n'a ni site, ni blog, l'existence de leur GEM est annoncée dans des annuaires locaux et nous ne pouvons prendre connaissance ni des statuts ni des règlements intérieurs,
- ceux qui ont des blogs et des sites n'affichent pas tous leurs documents sociaux,
- 80% de ceux que nous avons répertoriés sont gérés et administrés par des associations humanitaires, des professionnels de la gestion du handicap, des savs, il y a même des hôpitaux de jours qui s'y collent,et une aumonerie
- toutes les présentations font référence à la rupture de l'isolement, à la prévention,à la convivialité, à l'aide à la restauration des capacités mais peu font référence à la mission d'amener à l'autonomie et seuls quatre disent clairement que cette autonomie devra aller jusqu'à la prise en charge totale du GEM par l'association d'usagers,
- lorsqu'une association d'usagers a été créée les représentants des usagers dans les CA sont minoritaires sur le total des membres,
- beaucoup des gestionnaires sont les employeurs des animateurs et ce même lorsqu'il y a une association d'usagers,
- beaucoup trop de GEM sont encore logés dans les locaux mêmes du parrain généralement gestionnaire,
Des appels que nous recevons il apparaît que dans les GEM gérés par les associations professionnelles les comptes ne sont pas rendus aux associations d'usagers, que les embauches et les licenciements se font sans leur avis, que les dossiers de demande de subvention et les rapports d'activités passés et prévisionnels sont faits exclusivement par les animateurs et leurs employeurs.
Des conversations que nous avons avec les ARS il ressort que seul le regroupement des GEM autonomes en collectif permettra de sauver le concept.
Nous avons constaté que seules l'Union nationale GEM-France et Advocacy regroupent les GEM créés, gérés, administrés par les usagers.
Il en est des Groupes d'Entraide Mutuelle comme de toute entreprise dans le système qui nous gouverne. Nous ne sommes pas très nombreux à être totalement autonomes.
En nous rassemblant tous nous aurons assez de crédit, assez de force pour soutenir notre travail de militants et de bénévoles dans les GEM,
Nous aurons assez de force pour que soit vraiment valorisé le travail des bénévoles dans le champ du mouvement des usagers, assez de force pour valoriser le travail de tous les animateurs qui accomplissent leur "coeur de métier" au bénéfice des adhérents.
Ne restons pas seuls chacun dans nos murs.
Le seul critère qui compte vraiment c'est que notre mouvement est constitué de personnes disponibles. De pairs disponibles à l'écoute, à l'entraide, à l'information donnée et reçue, à l'échange d' expériences.