UNGF
2, Rue de Friedland
13000 Marseille
Madame,
Nous vous avions déjà contacté cet été pour nous faire part de nos difficultés au sein de notre GEM, voici le rappel des faits. Nous profitons de ce courrier pour vous tenir au courant des dernières nouvelles.
Tout avait commencé au printemps 2012, au moment où notre animatrice a vu ses horaires de travail changées par sa Directrice : Madame Simonnet, qui se présente comme la directrice de l’animatrice, la marraine du GEM mais aussi la seule gestionnaire de la subvention des ARS. L’animatrice a déjà dû prendre une pause le midi, obligeant non seulement aux adhérents de ne plus manger au GEM ensemble, mais de devoir partir du GEM au moment de la pause de l’animatrice ; de plus elle ne pouvait plus travailler le samedi soir après 20h, ce qui nous empêchait de faire nos soirées : anniversaire, soirée à thème... t’en priser par les adhérents et cela depuis plus de 2 ans. Toutes ses décisions ont été prises sans que les adhérents aient été tenus au courant, pourtant, nous avons tenté plusieurs fois de contacter Madame Simonnet pour organiser une assemblée générale en sa compagnie ; nous n’avons jamais réussi à l’avoir personnellement au téléphone, nous avions toujours un intermédiaire et toutes les dates proposées ne convenaient pas à Madame Simonnet qui n’a jamais voulu nous donner une date, où elle pouvait venir. L’animatrice de son côté n’avait pas plus de contact avec sa Directrice et ne la voyait jamais.
En juin, les choses se sont aggravées, l’animatrice à appris lors d’un repas du personnel à son ancien travail, au foyer : la résidence de la Dhuys, filiale de la CPRH, où Madame Simonnet est la Directrice, qu’elle allait réintégrer le foyer au mois de septembre, car il n’y avait pas de subvention pour 2012. Nous avons été contactés ultérieurement, environ une dizaine de jours plus tard (période pendant laquelle l’animatrice a été tenue de ne rien nous dire), par Madame Simonnet, pour nous voir tous ensemble au sein du GEM. Etant donnée nos nombreux coup de fil pour la voir nous pensions que ce rendez-vous était dû à nos demandes répétées et que nous allions enfin savoir pourquoi le planning de l’animatrice avait été changé. Mais cette réunion ne s’est pas passée comme prévue, nous avions préparé plein de questions mais nous n’avons pas pu les poser, trop choqués par ce que cette dame nous a dit à savoir que l’animatrice était licenciée du GEM et que le préavis de la location avait été déjà donné à l’agence.
Suite à cette annonce est malgré un préavis de 3 mois, il a été demandé à l’animatrice de vider l’appartement dans lequel nous étions avant ses vacances d’été, soit la dernière semaine de juillet, nous avons donc passer les trois dernières semaines à déménager pour se retrouver héberger provisoirement dans la salle de réunion du SAVS de Lagny-sur-Marne ; on ne nous a pas autoriser à tout ramener et il a fallu se débarrasser de beaucoup nos biens.
Depuis les choses ne se sont pas arrangées une nouvelle animatrice a été embauchée sans que nous soyons consulté (et le poste n’a pas été proposé à notre ancienne animatrice), mais plus à temps plein comme avant, et un tout petit local de 25 m carré (contre plus de 75m carré précédemment)a été loué avec l’argent de l’année 2012, car l’argent est bien arrivé et du même montant que
l’année 2011 soit environ 57000 euros, comme les GEM de Seine et Marne.
Et malgré nos différentes démarches nous ne savons toujours pas comment est utilisée la subvention, puisque Madame Simonnet refuse de nous donner les comptes et nous dit que si nous continuons à faire ses demandes, elle ira porter plainte contre nous pour diffamation. En effet, Le Président de l'association a été reçu seul, par Madame Simonnet et la Chef du service du SAVS, auquel il appartient, après vous avoir contacter. Etant donner qu'il a essayer de vous joindre et différents organismes, pour défendre nos droits, celles-ci l'on menacé de porter plainte, si il continuait ses démarches. Sans compter qu’au moment du déménagement, elle nous a obligé à nous séparer de nos biens, la plus part avait été donnés par des adhérents et famille d’adhérents, notre frigo a été soit disant vendu à un usager mais se trouve dans la cuisine du SAVS. Ou bien encore on refuse qu’on mette notre télévision, qui se trouve au SAVS , dans le nouveau local, car le local est trop petit. Plus aberrant nous avions remarqué que nos bien et matériels surtout les meubles on été distribués par des inconnues . Etc…
Bien sûr il n’est toujours pas question que nous organisions, des fêtes comme nous le faisions deux fois par mois, avec l’ancienne animatrice qui n’a jamais voulu quitter son poste et à qui on refuse de devenir bénévole au prétexte que cela va gêner la nouvelle animatrice.
De plus nous avons une inquiétude, car l’animatrice faisait tous les ans le rapport d’activité avec notre aide, mais cette année comme elle a été licenciée, elle ne pourrait pas le faire et nous ne savons pas qui va faire ce rapport : La secrétaire du SAVS, qui a remplacée l’animatrice à partir du mois de septembre et qui répondait au téléphone quand les adhérents n’étaient pas présents et qui notait les effectifs, mais restait dans son bureau, ou bien l’animatrice qui nous a été présenter le 1e décembre, et qui ne sait rien de ce qui s’est passé dans l’année ? Comment expliquer la baisse d’effectif, dans ce rapport, depuis dans un premier temps, au printemps avec l’arrêt des soirées et dans un deuxième temps avec la baisse des horaires d’ouverture ? En effet quand nous avons été hébergés au SAVS et pour ne pas déranger le fonctionnement du service, le local était ouvert aux adhérents que 3 heures, 3 après-midi par semaine seulement contre 35 heures par semaine avec l’animatrice qui nous laissait les clefs quand elle ne pouvait pas ouvrir, sachant que les horaires de 14h à 17h, le lundi, mercredi et jeudi, ne correspondaient pas du tout aux horaires et jours ou pouvaient convenir les adhérents, car un bon nombre d’entre nous travaillent ou se rendent à l’hôpital de jour.
Actuellement, la nouvelle animatrice refuse toutes notre proposition, nous ne pouvons plus faire ce que nous faisions avant: les sorties, les soirées, la télévision, karaoké, repas, le contact ne passe pas, La fréquentation est nulle, le lieu de vie est devenu mort, les soirées ne peuvent plus avoir lieu car la fermeture à lieu au plus tard à 18h. Les horaires sont très restreintes ce qui nous empêche, de nous retrouver comme avant. Nous avons un mauvais contacte avec l'animatrice et ne peut pas nous aider car elle a des difficultés pour s'exprimer en français.
Nous ne demandons rien de plus que de connaitre la gestion de la subvention, même si nous ne sommes pas encore près à gérer l’argent seul encore et de retrouver notre animatrice qui n’a jamais voulu démissionnée.
Nous voulons débloquer la situation, malgré nos lettres et requêtes auprès de la direction, nous n'avons toujours pas gain de cause et nous avons l'impression d'être désarmé, et impuissant fasse à la situation. Dans l'histoire, nous avons tout perdu, à quoi bon ré-ouvrir un GEM, et dépenser un budget, si personne ne peut en profiter. Nous nous sentons comme de pauvres handicapés à qui on le fait bien comprendre.
Monsieur le Président de l’Embellie, Eric Bartoli
Monsieur Le Président du CA, Quentin De Susanne
Et les adhérents.
2, Rue de Friedland
13000 Marseille
Madame,
Nous vous avions déjà contacté cet été pour nous faire part de nos difficultés au sein de notre GEM, voici le rappel des faits. Nous profitons de ce courrier pour vous tenir au courant des dernières nouvelles.
Tout avait commencé au printemps 2012, au moment où notre animatrice a vu ses horaires de travail changées par sa Directrice : Madame Simonnet, qui se présente comme la directrice de l’animatrice, la marraine du GEM mais aussi la seule gestionnaire de la subvention des ARS. L’animatrice a déjà dû prendre une pause le midi, obligeant non seulement aux adhérents de ne plus manger au GEM ensemble, mais de devoir partir du GEM au moment de la pause de l’animatrice ; de plus elle ne pouvait plus travailler le samedi soir après 20h, ce qui nous empêchait de faire nos soirées : anniversaire, soirée à thème... t’en priser par les adhérents et cela depuis plus de 2 ans. Toutes ses décisions ont été prises sans que les adhérents aient été tenus au courant, pourtant, nous avons tenté plusieurs fois de contacter Madame Simonnet pour organiser une assemblée générale en sa compagnie ; nous n’avons jamais réussi à l’avoir personnellement au téléphone, nous avions toujours un intermédiaire et toutes les dates proposées ne convenaient pas à Madame Simonnet qui n’a jamais voulu nous donner une date, où elle pouvait venir. L’animatrice de son côté n’avait pas plus de contact avec sa Directrice et ne la voyait jamais.
En juin, les choses se sont aggravées, l’animatrice à appris lors d’un repas du personnel à son ancien travail, au foyer : la résidence de la Dhuys, filiale de la CPRH, où Madame Simonnet est la Directrice, qu’elle allait réintégrer le foyer au mois de septembre, car il n’y avait pas de subvention pour 2012. Nous avons été contactés ultérieurement, environ une dizaine de jours plus tard (période pendant laquelle l’animatrice a été tenue de ne rien nous dire), par Madame Simonnet, pour nous voir tous ensemble au sein du GEM. Etant donnée nos nombreux coup de fil pour la voir nous pensions que ce rendez-vous était dû à nos demandes répétées et que nous allions enfin savoir pourquoi le planning de l’animatrice avait été changé. Mais cette réunion ne s’est pas passée comme prévue, nous avions préparé plein de questions mais nous n’avons pas pu les poser, trop choqués par ce que cette dame nous a dit à savoir que l’animatrice était licenciée du GEM et que le préavis de la location avait été déjà donné à l’agence.
Suite à cette annonce est malgré un préavis de 3 mois, il a été demandé à l’animatrice de vider l’appartement dans lequel nous étions avant ses vacances d’été, soit la dernière semaine de juillet, nous avons donc passer les trois dernières semaines à déménager pour se retrouver héberger provisoirement dans la salle de réunion du SAVS de Lagny-sur-Marne ; on ne nous a pas autoriser à tout ramener et il a fallu se débarrasser de beaucoup nos biens.
Depuis les choses ne se sont pas arrangées une nouvelle animatrice a été embauchée sans que nous soyons consulté (et le poste n’a pas été proposé à notre ancienne animatrice), mais plus à temps plein comme avant, et un tout petit local de 25 m carré (contre plus de 75m carré précédemment)a été loué avec l’argent de l’année 2012, car l’argent est bien arrivé et du même montant que
l’année 2011 soit environ 57000 euros, comme les GEM de Seine et Marne.
Et malgré nos différentes démarches nous ne savons toujours pas comment est utilisée la subvention, puisque Madame Simonnet refuse de nous donner les comptes et nous dit que si nous continuons à faire ses demandes, elle ira porter plainte contre nous pour diffamation. En effet, Le Président de l'association a été reçu seul, par Madame Simonnet et la Chef du service du SAVS, auquel il appartient, après vous avoir contacter. Etant donner qu'il a essayer de vous joindre et différents organismes, pour défendre nos droits, celles-ci l'on menacé de porter plainte, si il continuait ses démarches. Sans compter qu’au moment du déménagement, elle nous a obligé à nous séparer de nos biens, la plus part avait été donnés par des adhérents et famille d’adhérents, notre frigo a été soit disant vendu à un usager mais se trouve dans la cuisine du SAVS. Ou bien encore on refuse qu’on mette notre télévision, qui se trouve au SAVS , dans le nouveau local, car le local est trop petit. Plus aberrant nous avions remarqué que nos bien et matériels surtout les meubles on été distribués par des inconnues . Etc…
Bien sûr il n’est toujours pas question que nous organisions, des fêtes comme nous le faisions deux fois par mois, avec l’ancienne animatrice qui n’a jamais voulu quitter son poste et à qui on refuse de devenir bénévole au prétexte que cela va gêner la nouvelle animatrice.
De plus nous avons une inquiétude, car l’animatrice faisait tous les ans le rapport d’activité avec notre aide, mais cette année comme elle a été licenciée, elle ne pourrait pas le faire et nous ne savons pas qui va faire ce rapport : La secrétaire du SAVS, qui a remplacée l’animatrice à partir du mois de septembre et qui répondait au téléphone quand les adhérents n’étaient pas présents et qui notait les effectifs, mais restait dans son bureau, ou bien l’animatrice qui nous a été présenter le 1e décembre, et qui ne sait rien de ce qui s’est passé dans l’année ? Comment expliquer la baisse d’effectif, dans ce rapport, depuis dans un premier temps, au printemps avec l’arrêt des soirées et dans un deuxième temps avec la baisse des horaires d’ouverture ? En effet quand nous avons été hébergés au SAVS et pour ne pas déranger le fonctionnement du service, le local était ouvert aux adhérents que 3 heures, 3 après-midi par semaine seulement contre 35 heures par semaine avec l’animatrice qui nous laissait les clefs quand elle ne pouvait pas ouvrir, sachant que les horaires de 14h à 17h, le lundi, mercredi et jeudi, ne correspondaient pas du tout aux horaires et jours ou pouvaient convenir les adhérents, car un bon nombre d’entre nous travaillent ou se rendent à l’hôpital de jour.
Actuellement, la nouvelle animatrice refuse toutes notre proposition, nous ne pouvons plus faire ce que nous faisions avant: les sorties, les soirées, la télévision, karaoké, repas, le contact ne passe pas, La fréquentation est nulle, le lieu de vie est devenu mort, les soirées ne peuvent plus avoir lieu car la fermeture à lieu au plus tard à 18h. Les horaires sont très restreintes ce qui nous empêche, de nous retrouver comme avant. Nous avons un mauvais contacte avec l'animatrice et ne peut pas nous aider car elle a des difficultés pour s'exprimer en français.
Nous ne demandons rien de plus que de connaitre la gestion de la subvention, même si nous ne sommes pas encore près à gérer l’argent seul encore et de retrouver notre animatrice qui n’a jamais voulu démissionnée.
Nous voulons débloquer la situation, malgré nos lettres et requêtes auprès de la direction, nous n'avons toujours pas gain de cause et nous avons l'impression d'être désarmé, et impuissant fasse à la situation. Dans l'histoire, nous avons tout perdu, à quoi bon ré-ouvrir un GEM, et dépenser un budget, si personne ne peut en profiter. Nous nous sentons comme de pauvres handicapés à qui on le fait bien comprendre.
Monsieur le Président de l’Embellie, Eric Bartoli
Monsieur Le Président du CA, Quentin De Susanne
Et les adhérents.